Florilège :
"L’écart ne cesse de se creuser entre les salariés et la petite classe de privilégiés, protégés par le pouvoir, dont le nombre et la fortune croissent rapidement. Nous sommes, à n’en pas douter, dans une période pré-révolutionnaire, au sens de 1789. Les cadres et, d’une facon plus générale, les classes moyennes, seront demain, comme les bourgeois naguère, les catalyseurs de la révolution."
17/09/2008, Georges Pebereau,
ancien president de la Compagnie generale d’electricite (CGE)
source : http://www.lemonde.fr/…revolution-par-georges-pebereau
"Sentez-vous le grondement populaire ? le sentiment d’iniquité qui parcourt, comme une lame de fond, le pays ? Acceptez-vous de méditer ce mot de la comtesse de Boigne, une habituée des révolutions : "Les peuples ont l’instinct de leur approche ; ils éprouvent un malaise général. Mais les personnes haut placées n’apercoivent le danger que lorsqu’il est devenu irrésistible" ?"
23/03/2009, Alain Minc
source :http://www.lefigaro.fr/…/lettre-ouverte-a-mes-amis-de-la-classe-dirigeante
"Il y a en France (…) une ambiance malsaine de nuit du 4 août."
01/07/2010, Jean-Francois Copé